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le conseiller fédéral Ignazio Cassis participe à la réunion du Conseil ministériel de l’OSCE

Organisée cette année sous la présidence albanaise, la 27e réunion du Conseil ministériel de l’OSCE aurait dû se tenir les 3 et 4 décembre à Tirana. Mais en raison de la situation actuelle liée à la pandémie de COVID-19, la réunion a eu lieu par vidéoconférence

Le conseiller fédéral Ignazio Cassis a participé à la réunion du Conseil ministériel de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), organisée par vidéoconférence le 3 décembre 2020. À cette occasion, il a appelé au renforcement de l’organisation et invité les États participants à trouver un consensus concernant les nominations aux postes clés de l’OSCE.

Organisée cette année sous la présidence albanaise, la 27e réunion du Conseil ministériel de l’OSCE aurait dû se tenir les 3 et 4 décembre à Tirana. Mais en raison de la situation actuelle liée à la pandémie de COVID-19, la réunion a eu lieu par vidéoconférence. Dans son allocution, le conseiller fédéral Ignazio Cassis a souligné le rôle central que joue l’OSCE pour la sécurité, non seulement en Europe de manière générale, mais également pour la Suisse. Il a rappelé l’importance du bon fonctionnement de l’organisation et plaidé en faveur du renforcement de sa capacité d’action.

« L’OSCE, qui dispose d’une large palette d’instruments pour gérer les crises et les conflits, doit être renforcée », a déclaré le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE). À ses yeux, cela est plus important que jamais compte tenu de la situation au Bélarus, de la crise du Haut-Karabakh et du conflit dans l’est de l’Ukraine.

Le conseiller fédéral Ignazio Cassis s’est félicité que la présidence albanaise de l’OSCE ait présenté un ensemble de candidatures équilibré pour les quatre postes clés de l’organisation qui sont actuellement vacants. Il a appelé tous les États participants à trouver un consensus sur ces nominations.

Enfin, le chef du DFAE a réaffirmé que la Suisse continuerait de s’engager en faveur de l’organisation: «Pensons à l’après-demain afin de prendre aujourd’hui les bonnes mesures pour demain».